Formation / recrutement : l’École Doranco veut multiplier les partenariats avec les entreprises de l’industrie
parUn an et demi après l’arrivée ravageuse du Covid-19, l’École Doranco, spécialisée dans le numérique, l’informatique et le multimédia, semble sortir renforcée de cette crise sans précédent qui a tout particulièrement touché le monde de l’enseignement. « Nous disposons de nombreux atouts, parmi lesquels la flexibilité de l’école et de son corps enseignant capable d’accompagner les étudiants dans la France entière, souligne Virginie Berre-Jeudy, responsable du pôle Alternance de Doranco. Avant même l’arrivée de la crise, nous possédions déjà une forte expérience dans le « distanciel » ».
Un avantage certain qui s’accompagne également de la possibilité pour l’école d’affiner et d’adapter les parcours de formation en fonction des besoins des entreprises. Enfin, les sessions d’enseignement pouvant démarrer à n’importe quel moment de l’année, cela a permis à de nombreux étudiants – dont plus de 90% de demandeurs d’emploi – de raccrocher les wagons et s’offrir l’une des nombreuses formations proposées, allant du Webdesign à la cybersécurité en passant par du développement logiciel.
Une volonté de répondre aux besoins de recrutement de l’industrie
En plein développement d’un nouveau campus à Bordeaux puis une future implantation physique à Lyon (en octobre 2022), l’école Doranco couvre naturellement tout l’Hexagone. Avec près 150 étudiants accompagnés en alternance chaque année, l’établissement parisien ne cache pas ses ambitions avec la volonté de doubler cet effectif l’an prochain avec deux rentrées « décalées », l’une en avril, l’autre en octobre.
Aujourd’hui, forte de ses ambitions, l’École Doranco entend développer des partenariats avec les entreprises de la filière industrielle. « De nombreuses PME et TPE nous sollicitent car nous répondons à leurs besoins avec des profils d’étudiants qualifiés, bien formés et rigoureux, avec une vraie préparation en amont à l’entretien afin de bien « matcher » du premier coup avec le recruteur », ajoute Virginie Berre-Jeudy.