Miser sur le service et les lubrifiants de Fuchs pour maintenir le haut niveau de qualité des perforateurs et des brise-roches
FUCHS / MONTABERT
parReconnu dans le monde entier pour la qualité et la robustesse de ses perforateurs et de ses brise-roches, Montabert a décidé d’améliorer sa stratégie de lubrification en choisissant des solutions Fuchs, à la fois en huiles entières et solubles, pour l’usinage et la rectification.
Montabert a pour particularité de tout développer et produire en interne. « Ici, dans cette usine d’environ 550 personnes, nous réalisons le design et la conception, l’usinage, le traitement thermique, la rectification et la commercialisation de tous nos produits », confirme Jean Berliet, responsable maintenance curative au sein de l’usine Montabert de Saint-Priest, dans l’agglomération lyonnaise.
Dans ce contexte, et dans un souci d’extrême qualité dans la mesure où la totalité des produits sont soumis à la fois à de fortes sollicitations pour des applications de démolition dans des carrières (pour les brise-roches) et de perçage de trous et de tunnel notamment dans les mines (pour les perforateurs), Montabert a décidé de lancer un appel d’offres afin de renforcer sa stratégie de lubrification.
Pour ce faire, l’entreprise lyonnaise, alors confrontée à différents problèmes en matière de performance, de réglementation par rapport à la présence de chlore dans les produits et de durabilité de l’outil, a retenu Fuchs Lubrifiant, d’abord pour de l’huile entière, ensuite pour de l’huile soluble. « La performance de l’huile n’est pas le seul critère : la stabilité du bain, l’absence de mousse ou encore la performance de coupe que va générer le lubrifiant sont également essentielles. De plus, nous étions à la recherche d’un produit non chloré ».
Miser sur un produit de qualité avant tout
En choisissant les produits de Fuchs, d’abord une huile entière pour l’usinage complexe (Ecocut HBC 24), puis deux huiles solubles pour l’usinage et la rectification (Ecocool FG-BF et TN 2525), Montabert a bénéficié de meilleures performances de coupe avec un champ d’action très large (de l’usinage standard au forage profond). Aussi, l’huile de rectification se montre plus efficace pour la partie cylindre et les pistons avec des tolérances n’excédant pas 3 ou 4 microns. « Nous profitons de l’excellente stabilité et d’une durée de vie du produit d’au moins trois ans alors qu’avant nous devions vidanger chaque année. De plus, nous ne rencontrons plus de problème de fongis, ces champignons qui obstruent les circuits ».
Autre sujet de satisfaction, et pas des moindres, la relation client et le suivi des centrales de lubrification. « Pour nous, c’était un critère essentiel de sélection dans le choix du lubrifiant, insiste Jean Berliet. Nous avions en effet besoin de la présence et de la proximité de notre fournisseur, en particulier pour le suivi de nos bains d’huiles solubles ». Le responsable maintenance a très vite été rassuré : « dès le début, à chaque fois que nous avions une question ou un problème quelconque, nous obtenions une réponse immédiate ». Stéphane Allaix, technico-commercial Fuchs, confirme : « j’effectue chaque semaine une inspection de la centrale de lubrification. Si nécessaire, je fais des prélèvements que j’envoie au laboratoire d’analyses afin de vérifier la dureté ou la teneur en chlorure et d’effectuer si besoin des relevés bactériologiques à 24 heures, puis 72 heures. Ce service est important pour mon client et moi, cette étroite collaboration nous permettant de travailler en toute sérénité et de maintenir sous contrôle le process client ».
Il faut dire que chez Montabert, si la qualité des perforateurs et des brise-roches est reconnue à travers le monde, ce n’est pas par hasard. Dans l’usine de Saint-Priest, malgré les cadences élevées, la qualité est au cœur de chaque étape du process… et la lubrification fait partie intégrante de la stratégie de production ; « c’est pourquoi, matin et soir, nous effectuons un suivi quotidien de la centrale de lubrification, avec la relève de caractéristiques comme le pH, la concentration et l’aspect général du bain… »
Olivier Guillon
EQUIP PROD • N°142 Mars 2023